De promesses non tenues, comme par exemple sur la maîtrise de la fiscalité locale, en projets conduits en catimini à l’insu des citoyens comme sur l’urbanisation de Montgros,  voilà maintenant treize ans qu’il roule en permanence les Collois dans la farine.

Et aujourd’hui, avec un projet pharaonique d’école au budget mal maîtrisé et qui dépassera au final les 16 millions d’euros, il a incontestablement plongé La Colle sur Loup dans le pétrin.

Normal donc que Christian Berkesse ait choisi pour permanence une ancienne boulangerie dont il continue d’arborer fièrement l’enseigne : artisan boulanger.

Une décision qui consacre au passage la faillite de la municipalité actuelle dans sa politique de dynamisation du centre village où la rotation des commerces affiche une course effrénée toujours plus dramatique puisque désormais les baux à céder se multiplient dans toutes les rues.

Plutôt que de tenter de trouver une solution pour favoriser le maintien de ce commerce de proximité auquel  les Collois souhaitent que l’on donne un second souffle, le maire sortant a préféré y ouvrir sa boutique pour espérer vendre aux colloises et aux collois ses bonnes vieilles recettes.

Car ne nous y trompons pas, pour défendre son fonds de commerce et ses intérêts propres, si il annonce un nouveau pain à la façon UDI, un ingrédient récemment introduit par pur opportunisme dans l’alimentation politique mais qui présente toute la saveur de certaines vieilles soupes politiciennes, la farine de l’artisan-boulanger Christian Berkesse reste socialiste comme aux premiers jours de son apprentissage à la fin des années 80, avec comme copain de promos Patrick Allemand, 1ère vice-président socialiste du Conseil régional ou Marc Daunis, sénateur maire socialiste de Valbonne…

Et par les temps qui courent, cette farine socialiste nous annonce un pain avec une bonne dose d’amertume en bouche… il convient donc d’envisager d’écarter sa consommation sous peine d’être frappé d’indigestion fiscale…

Les Colloises et les Collois sont avertis…

Et ils savent bien que dans notre société régit par les lois de l’offre et de la demande, un produit qui n’est pas consommé est voué à disparaître des étals !

Qu’on se le dise car La Colle n’y gagnera rien de bon !

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